renault twingo d'occasion
tableau de bord renault twingo
coffre renault twingo
Apparue tout d'abord en 1993 avec le moteur 1.2 cleon, qui équipait déjà la renault 8 !, la première version n'est pas recommandable. Hormis un agrément de conduite tout juste correcte, sa consommation demeure élevée et sa faible puissance ne la destine pas à un usage routier. La seconde génération de moteur, 1.2 58 ch est plus agréable, et surtout, son appétit se montre désormais raisonnable. Le passage à une culasse 16 soupapes, 75 ch, quatre ans plus tard, la transforme presque en mini routière a défaut de n'avoir jamais eu de moteur diesel. Si la traditionnelle boite mécanique vous agace, ou que vous roulez essentiellement en ville, vous avez le choix entre plusieurs transmissions. L'easy, suppression de la pédale d'embrayage mais commande classique, est séduisante mais sa fiabilité est mauvaise. La Twingo matic est agréable en ville mais n'est pas adapté pour la route. Enfin La Renault Quickshift n'offre pas l'agrément d'une boite robotisé moderne. La tenue de route, tout comme le freinage, n'est pas le point fort de la Renault Twingo d'occasion, surtout sur les premiers modèles. La faute à une suspension typée confort. L'amélioration des trains roulants et du freinage en 2000 lui assure un comportement plus sur, sans pour autant faire preuve d'une grande rigueur. Si le rythme n'est pas soutenu, on peut envisager de prendre la route sereinement. Néanmoins, son truc a elle, c'est plutôt l'univers urbain. Ses mensurations contenues et sa bonne visibilité sont de sérieux atouts pour se faufiler et se garer en ville. Petit bémol, la carrosserie peut être mise à mal sur certaines versions dépourvues de baguettes latérales. La direction assistée, apparue tardivement facilite les manoeuvres mais gomme les sensations sur route.
Petite à l'extérieur, grande à l'intérieur, voilà ce qu'aurait pu être le slogan de la Renault Twingo. Le volume de l'habitacle est bluffant, rapprochant la Renault twingo du segment supérieur.
La Twingo matic est agréable en ville mais n'est pas adapté pour la route. Enfin La Renault Quickshift n'offre pas l'agrément d'une boite robotisé moderne. La tenue de route, tout comme le freinage, n'est pas le point fort de la Renault Twingo d'occasion, surtout sur les premiers modèles. La faute à une suspension typée confort. L'amélioration des trains roulants et du freinage en 2000 lui assure un comportement plus sur, sans pour autant faire preuve d'une grande rigueur. Si le rythme n'est pas soutenu, on peut envisager de prendre la route sereinement. Néanmoins, son truc a elle, c'est plutôt l'univers urbain. Ses mensurations contenues et sa bonne visibilité sont de sérieux atouts pour se faufiler et se garer en ville. Petit bémol, la carrosserie peut être mise à mal sur certaines versions dépourvues de baguettes latérales. La direction assistée, apparue tardivement facilite les manœuvres mais gomme les sensations sur route.
Petite à l'extérieur, grande à l'intérieur, voilà ce qu'aurait pu être le slogan de la Renault Twingo. Le volume de l'habitacle est bluffant, rapprochant la Renault twingo du segment supérieur. Aujourd'hui les normes de sécurité n'autorise plus cet excellent compromis encombrement / habitabilité, la Citroen C1 en sais quelque chose. Sa forme monocorps et ses roues rejetées aux quatre coins de la voiture lui permettent d'optimiser l'espace. La luminosité accentue également cette sensation. Les grands gabarits sont à l'aise tant à l'avant qu'à l'arrière. Le volume du coffreet l'habitabilité sont variables grâce à la banquette arrière coulissante et repliable. Les sièges avant faisant de même, vous pouvez ainsi transformer votre Twingo en chambre à coucher. Seul hic, cette citadine n'est homologuée que pour quatre personnes. La position de conduite de la Renault Twingo commence à dater volant à l'horizontale, l'insonorisation est perfectible mais le confort de suspension demeure très correcte. Sur les premiers millésimes, les rangements sont rares et l'équipement chiche, absence de direction assistée, des vitres et rétros électriques jusqu'en 1996. Si vous le pouvez, préférez un modèle après 2000, bien mieux équipé.
A l'extérieur, la peinture perd de sa brillance sur les millésimes 1993 1994, les portières prennent du jeu à cause des charnières faibles. La première génération de moteur, le Renault Cléon, est à éviter, surconsommation d'huile et d'essence, boitier électronique capricieux. Sur cette Renault Twingo choisissez le 1,2 58 ou 75 ch, plus sûr. La transmission easy n'est pas exempte de reproche en raison d'un vieillissement chronique de l'embrayage. A l'intérieur, la finition n'est pas au top : tôles apparentes, tableaux de bord aux plastiques mal ajustés et de qualité moyenne, tissus de siège cheap et insonorisation perfectible. Heureusement, Renault ne cessera de corriger ses Twingo au gré des millésimes. A partir de 2000, la qualité s'améliore : les mécaniques sont fiables et les bruits parasites sont moins présent dans l'habitacle. Les versions les plus intéressantes demeurent celles apparues après 2004.
La Renault Twingo est apparue en Mars 1993 et a été restylée en septembre 1998 et septembre 2000 et il y en a 1060700 en circulation. Ses dimensions 3,43x1,63x1,42 volume du réservoir 40 litres.
Qu'on se le dise : l'originale TWINGO 1 restera un concept inégalé par son intelligence. Son rapport encombrement habitabilité est en effet hors du commun. Malgré sa petite taille, la citadine offre un intérieur spacieux pour quatre.
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